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PROJETS DOCUMENTAIRES
PARTENAIRES
Collectivité Territoriale de Corse
Centre National de la Cinématographie et de l'Image animée
Procirep-Angoa
France Télévisions
Corse et armes
Pierre Clementi, l'absolue liberté
Qu’il s’agisse de littérature, d’information, de fiction, en télévision ou au cinéma, la figure du Corse se résume fréquemment aux figures du milieu, aux icônes du terrorisme ou de la vendetta.
Les armes à feu sont-elles réellement intégrées à la culture en Corse ? Quels facteurs historiques ont permis le développement de la détention d’armes ? Quels rôles ont-elles eu par le passé ? Et aujourd’hui ?
Au-delà du spectaculaire qui occulte bien souvent l’essentiel, il s’agit d’un patrimoine culturel méconnu qu’il convient d’analyser et pour le comprendre. C’est ce que propose Laurence Leduc Clementi à travers ce documentaire où des experts, universitaires, spécialistes de l’histoire, de la littérature, de l’anthropologie, ont tous été intéressés par la place des armes en Corse.
Un film de Laurence Leduc, 52', coproduction France Télévisions Corse ViaStella, avec le soutien de la Collectivité Territoriale de Corse et du CNC.
ll a tourné sous la direction des plus grands réalisateurs, Pasolini, Bunuel, Bertolucci, a eu comme partenaire Catherine Deneuve, Alain Delon, Michel Piccoli...
Puis il s'est immergé dans l'underground, Philippe Garrel, Marc'O, ses propres créations... fierté de ma famille, grand acteur des années 60-70, Pierre Clémenti.
Ce film retrace la vie d'un artiste marquant de son époque par l'intime.
A travers des allers-retours entre la lumière éclatante de Paris et de Rome, où l'on a consacré le «mythe», et Guitera, petit village corse, ses racines
Un film de Laurence Leduc, coproduction France Télévisions Corse ViaStella, avec le soutien de la Collectivité Territoriale de Corse et du CNC. Présenté en avant-première la Cinémathèque française.
DOCUMENTAIRES
Chjachjarella Produzione développe essentiellement des projets de films qui ont pour point de départ un territoire, la Corse et pour ambition de s’ouvrir à d’autres horizons, généralement la Méditerranée et l’Europe.
Chjachjarella Produzione essentially develops film projects that have as their starting point one territory, Corsica, and aims to open up to other horizons, usually the Mediterranean basin and Europe.
Gérant
Pierre Le Bloa
Réalisation
Laurence Leduc Clementi
Sylvine Salvagniac de Saint Cyr
Pascal et Stephan Regoli
Julie Morales
Adresse : Lieu-dit "Bassanese"
Chemin du Macchione
20600 Bastia
Tel. : +33 6 95 25 84 59
Email : contact@chjachjarella.com
Solenzara
La chanson corse Solenzara a été un hit international dans les années 60. Vingt-cinq ans plus tard, sans autorisation, Goran Bregovic s’empare de la musique pour composer In the Deathcar interprétée par Iggy Pop. Elle devient la bande originale du film d’Emir Kusturica Arizona Dream et connait un succès encore plus grand que Solenzara.
Pourquoi ces quelques notes charment le public depuis 50 ans ? Quelles mystérieuses résonances ont-elles en nous ? Le film raconte l’histoire d’une chanson, de son voyage, de ses rencontres.
Équipés d’un vieil électrophone de 1963, nous partons de Corse, père et fils, à la recherche d’auditeurs et d’artistes de différents pays d’Europe qui ont croisé Solenzara sur leur chemin
The Corsican song Solenzara was an international hit in the 60s. Twenty-five years later, without permission, Goran Bregovic took the music and composed In the Death Car, interpreted by Iggy Pop. It became the soundtrack to the film Arizona Dream by Emir Kusturica and experienced even greater success than Solenzara.
Why have these few notes charmed the public for 50 years? What mysterious echoes do they have in us? The film tells the tale of a song, its journey and its encounters.
Equipped with an old record player from 1963, we leave Corsica, father and son, on the search for audiences and artists in the different countries in Europe that have crossed paths with Solenzara.
Un projet de film de Stephan et Pascal Regoli, coproduction France Télévisions Corse ViaStella, avec le soutien de la Collectivité Territoriale de Corse, du CNC et de la Procirep-Angoa
Développé dans le cadre d'Eurodoc Production 2013 et Best project Award au ZagrebDox Pro 2015
Napoléon, ma famille et moi
Sylvine, jeune femme d’une trentaine d’année est une descendante de Napoléon Bonaparte.
Au cours des deux derniers siècles, la richesse de sa famille s’est dispersée. Les privilèges de la noblesse ont perduré jusqu’à sa mère et son père qui n’ont jamais eu besoin de travailler. Sylvine, elle, n’a pu que constater les ventes successives des domaines, n’héritera pas et doit gagner sa vie.
Catherine, la maman, habite un « petit château », une yourte en fait, dans le Sud-Ouest. Sylvine l’observe fabriquer un fauteuil avec de la ficelle recyclée. Elle est à ses yeux l’ultime représentante d’une filiation, d’un savoir-vivre, d’un savoir-être, bref d’un monde en train de s’éteindre.
Qu’est-ce qui s’éteindra avec elle ? Quels vestiges restent-ils ? Que garder ? Que transmettre ? Comment se construire quand ses aïeux ont pratiquement tous été des hommes politiques et des militaires de haut-rang ?
Catherine a trouvé sa voie en se démarquant de cet héritage pour se rapprocher des « gens manuels ».
Sylvine a les pieds bien sur terre et les yeux qui regardent avec douceur ses nobles ancêtres. Elle se sent profondément corse, veut retrouver ses racines, sa terre et sa famille insulaire. Le film commence par un voyage, une traversée. Alors qu’elle est en mer, un compagnon lui apparait, Napoléon. Il ne la quittera plus.
Un projet de film documentaire de Sylvine Salvagniac de Saint-Cyr de 52 minutes, sélectionné par le programme Eurodoc - Produire en région 2015
Corse, pouvoir au féminin de Julie Morales
Résidents de Laurence Leduc
L'été inachevé de Pascal Regoli
Complètement mélo de Stephan V. Regoli